Bah oui, bah oui, bah oui : ZADIG & VOLTAIRE… encore et toujours !

Au grand dam de ma banquière !

Que voulez-vous, c’est carrément un truc incontrôlable !!

Je fais mes courses ? BOOM, je passe comme de par hasard devant une vitrine Zadig !

Je suis en vacances ? RE-BOOM, il y a comme de par hasard une boutique Zadig !

Le hasard fait quand même super bien les choses, trouvez pas ?

C’est promis, la prochaine fois, je me barre genre dans la Creuse ou au fin fond du Jura, et peut-être qu’avec un peu de chance, l’objet de tentation ne sera pas présent… (Quoique, faudrait que je vérifie la liste des points de vente, parce que vu mon bol…).

Quoi qu’il en soit, je ne suis pas là pour me morfondre, mais plutôt pour vous faire part de mes EXTRAORDINAIRISSIMES trouvailles !!

Le petit gilet, c’est toujours utile non un petit gilet ? Et il faisait totalement défaut dans ma garde robe !

Je l’ai donc choisi en modèle un peu long (pour cacher le satané cuissot) et dans un magnifique beige chiné de marron chocolat.

Il est bien long, bien chaud, avec une coupe un destructurée, sans bouton ou ceinture, à porter simplement avec une jolie broche ou une épingle à nourrice pleine de breloques !

Et surtout, surtout : il a les manches super longues et qui tombent bien sur les phalanges !

J’ai piqué une photo sur le site Zadig : pas la bonne teinte, mais une superbe photo du mouvement.

Craquage numéro 2 : une sublissime jupe en velours noir.

Pas trop épaisse et un peu strech, elle permet d’être totalement à l’aise et libre de ses mouvements.

Coutures un peu « à l’arrache » et petit logo en strass au niveau de la ceinture pour le côté rock.

Leggin et grosses bottes ou beau collant opaque et talons hauts, je suis certaine qu’elle fera fureur !

Pour le mois prochain, j’ai repéré une veste juste terrrible (mais pas encore disponible sur le site en ligne) : un modèle blaser très masculin, un peu large pour le côté « je l’ai piquée à mon gars », avec une doublure très couture et une tête de mort en strass ton sur ton au niveau des coudes.

Madame la banquière, COURAGE !