Je vous vois venir…

« Ro la la, Poulette, on peut pas lui faire confiance… Elle change d’avis comme de culotte… »

C’est sûr qu’après le premier tome des Cinquante Nuances, je suis restée plutôt mitigée.

Je l’avais acheté pour comprendre le phénomène et me faire ma propre opinion…

Mais le sexe à chaque chapitre m’a clairement saoulé.

Je vous en parlais ici.

Mais il ne faut pas rester sur une déception, surtout quand deux autres tomes suivent !

J’ai bien fait de persister…

Ce second volet est Cinquante Nuances plus sombres (et le troisième Cinquante Nuances plus claires).

On imagine donc, qu’enfin, nous allons découvrir le pourquoi du comment.

Pourquoi cet homme jeune, riche et intelligent est-il aussi torturé ?

Que sait-il passé ?

Quelle est son histoire ?

Même si ce second tome ne dévoile pas encore tout, je l’ai absolument dévoré.

Ce qui m’a tenu en haleine ?

Une intrigue limite policière pendant plus de la moitié où on assiste presque à une traque.

Et aussi les petits éléments balancés ici et là concernant le passé sulfureux de Monsieur.

Au final, on se prend carrément au jeu et on se met même à la plaque d’un pseudo-psychologue pour donner notre avis sur l’état de « folie » de ce patient pas comme les autres.

Et quoi qu’il en soit, homme ou femme, on en parle.

Un pote s’est plongé dedans et on adore disséqué l’histoire.

Le sexe n’est alors qu’un symptôme du malêtre du personnage.

On cherche plutôt à comprendre ce que l’autre sexe pense de telle ou telle situation.

Ça en devient « les hommes viennent de Mars et les femmes viennent de Vénus ».

Bon, je vous laisse, j’attaque le troisième et j’ai hâte de savoir qui est ce très très méchant dont on parle !!